Las de se faire violé, agressé, humilié par un gang de bandits de grand chemin, un groupe de prostituées ne faisant guère confiance à la justice, s’organise et passe à l’action. Après avoir enlevé Le Magnifique, membre dudit gang, elles réussissent à identifier le repaire des bandits et passent à l’action…
Satire sociale montrant le rôle prépondérant que joue la société dans la déperdition de certains marginaux….
De l’action, du suspense à vous couper le souffle…
1ère Phase de tournage
Sosso en compagnie de ses collègues... Le Blondin et Gandja boy ne se doutent de rien
Belly se rend compte de la présence de Blondin Elle se met à crier
Les deux bandits indenfier prennent la fuite poursuivis par la foule
Visitez les vidéos du tournage sur les sites : youtube ou dailymotion (bande annonce du long métrage panique dans le milieu
Titre (posté le 28/11/2010 à 21:06)
Grande première à Libreville..
Le Film ‘’ Kinguélé’’, une immersion dans l’univers de la grande délinquence, de la pauvrété et de la promiscuité dans les quartiers dis ‘’sous intégré’’, apanaches de plusieurs villes africaines et d’ailleurs..
Par David TCHUENTE
FICHE TECHNIQUE :
Titre du film : Kinguélé
Genre : satire sociale
Type : action
Forme : Long métrage
Auteur : Dominique Donatien et l’école des Stars
Scenaristes : Darell NGOUONI et Jean MBATCHI
Réalisateur : Donatien MPOUMBA Seri (Dominique Donatien)
Directeur de la production :
Directeur artistique : Jean MBATCHI
Musique : titre ‘’Kinguélé’’, interprété par les artistes de l’école des stars de Libreville.
Sortie en salle : Début décembre 2010
Commercialisation : DVD
Psynopsis :
Kinguélé, célèbre quartier de Libreville (Gabon), plus connu sous l’étiquette de ‘’quartier sans lois’’ en référence à ces faits divers (insécurités, violences de tous genres, braquages..Etc) qui défrayent au quotidien la Une des journeaux et magazines vit sous la loi d’un chef de gang, DITENGOU Cerceuil qui n’a d’humain que sa morphologie.
Après une séries d’agressions parfois mortelles et des braquages, les forces de l’odre qui ont compris la necessité d’y créer un commissariat passe à l’action et mettent ces derniers hors de nuire.
De l’action et du suspense à voir absolument.
Que dire après cette grande première ?
Que le cinéma est une chaine de personnes qualifiées pour les différentes phases qui entrent dans sa production. Des spécialités existent ! Il faut s’en référer pour une production de qualité ; le scénario doit être confié à un bon scénariste pour la mise en texte de l’idée (synopsis du film) ; le casting d’acteurs à un directeur artistique, comédien d’expérience à même de combiner les paramètres principaux (profils psychologique et physiques), rechercher pour incarner un personnage ; la réalisation à un professionnel capable de découper le scénario en plans de prises de vues ; un monteur confirmer pour la finalisation des images filmés capable d’y apporter une touche d’artiste ; un responsable marketing enfin pour dans un premier définir la forme de diffusion (en salle ; par les chaînes de télévision ou pour le grand public sous support DVD ou VCD), négocier des canaux de diffusions ou de distributions du produit. Qu’observe t-on aujourd’hui ? Des producteurs de films incapables lors d’une grande première de communiquer à l’assistance comment sera distribué le produit dont ils sont venus assister aux premiers pas, mieux encore sous quelles formes sera-t-il distribué ? Comment imaginer la grande première d’un film où la technique balbutie encore au moment où le speaker annonce à l’assistance de regarder le début du film (pas d’image avec uniquement le son ou pas de son, mais uniquement l’image)…C’est facile d’accuser la machine qui trahit l’homme, mais retenons que c’est au contraire l’homme qui trahit la machine parce que n’ayant pas au préalablement avant l’utilisation de cette dernière, procédé à certains types d’essais qui lui aurait permis de déceler un problème caché ! Les acteurs d’un film que l’on vient assister pour la grande première sont des ‘’stars en devenir’’ et à ce titre doivent être vus qu’en fin de film pour emmener les gens sur terre après un instant de rêve…Ils ne doivent pas, alors que ne sais qui sont ils, se pavaner dans le hall d’entrée de la salle de projection ou encore dans la salle proprement dite entrain de faire des séances de photos attirant le regard des spectateurs, si ce n’est crié haut, en ces termes ‘’vous allez me voir à l’écran d’ici peu’’. Ils se dénaturent et deviennent vulgaire, n’étant plus objet de curiosité que l’on attend d’eux ! Ils doivent être vus en fin de projection sous le feu nourri des applaudissements de l’assistance qui pour les meilleurs signent des autographes….On ne peut non plus faire une grande première en oubliant la dédicace d’après film qui est une opération markéting de choix. C’est le lieu indiqué pour toute opération de charme en direction de l’assistance qui sont tous des consommateurs des produits en puissance. Rien ne s’improvise dans ce milieu très sélectif, les amateurs disparaîtront et les professionnels resterons…Ce n’est pas une couse poursuite, mais une course de fond où nul n’est besoin de présenter une prolifique filmographie sans pouvoir justifier à un prix décrocher à un quelconque festival ( Ecran Noir à Yaoundé (Cameroun), le Fespaco à Ouagadougou (Burkina Fasso), le festival de Carthage de Tunis (Tunisie) pour ne pas citer les références mondiaux dans le domaine que sont Cannes en France ou Turin en Italie…Messieurs les adeptes de la production cinématographique, ne soyez plus scénariste, réalisateur, monteur et distributeur, confier vos projets aux spécialistes en la matière pour une production de qualité, susceptible de vous ouvrir les portes de la gloire…
Photos de la soirée:
Les présentateurs de la soirée Une vue de l'assistance
Une scène du film Invité spécial: Mr Koumba DG, de l'IGSI (ex CENACI), réalisateur
Dominique Donatien, réalisateur du film '' Kinguélé''